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2023 C’est toujours pas sorcier  : La mémoire ça s’entretient ?

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Les policiers scientifiques peuvent être confrontés, lors d’une assistance à autopsie, à des stimuli sonores ou visuels générateurs d’un risque de stress post-traumatique. Aucune formation, à ce jour, ne prépare les policiers scientifiques, sur le plan psychologique, à appréhender ces images ou ces sons ayant un impact émotionnel potentiellement dévastateur. Grâce à une subvention de l’IHEMI, le service national de police scientifique a pu s’associer au Laboratoire Mémoire, Cerveau et Cognition (LMC²) de l’Université de Paris, et à l’Institut médicolégal de LYON, pour produire un module de réalité virtuelle destiné à désensibiliser l’apprenant de ces stimuli avant qu’il n’assiste à sa première autopsie. Lors de son exercice professionnel, “l’effet-tunnel” fréquemment constaté chez le policier scientifique en sera réduit, laissant disponibles toutes ses capacités cognitives pour la réalisation des gestes techniques. Ce module permettra également de réduire le stress ressenti par l’intéressé avant sa première autopsie, et le stress généré par la répétitivité de cet acte pourtant indispensable à a manifestation de la véri

Les déficits cognitifs dans la schizophrénie altèrent le fonctionnement quotidien et les activités instrumentales de la vie quotidienne. Ces déficiences peuvent être en partie responsables de la chronicité et de l’institutionnalisation. Nous présentons ici un outil de réalité virtuelle (RV) dans lequel des patients atteints de schizophrénie ont joué à un jeu virtuel dans une ville imaginaire pendant un programme de 3 mois.

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